Le sport, ce n’est pas que l’opium du peuple, pour reprendre la critique radicale du par ailleurs très excellent Jean-Marie Brohm. Au milieu du sport-business, des Lance Armstrong qui se rachètent une conduite sur les plateaux télé ou des statues de Zidane qui mettent des coups de boule devant Beaubourg, voilà une petite histoire comme je les aime.