Encore quelques citations, trouvées au fil de lectures.
Ce coup-ci, c’est à propos d’une manière différente de concevoir l’Histoire, d’Internet (via l’excellent documentaire « Une contre-histoire des Internets », visible sur Arte+7 jusqu’au 21 mai (et téléchargeable à plein d’endroits), de ce que c’est d’être curé et Communiste , d’Esprit olympique d’après le « sympathique » Pierre de Coubertin, de Créolisation, de Révolution (avec un joli extrait d’une intervention d’huiles de l’éducation nationale peu de temps avant mai 68) et de Napalm.
Another Earth, 2011, Mike Cahill
En ce moment, un peu contre mon gré, j’ai beaucoup trop la tête dans la noirceur du quotidien. L’envie de prendre mon sac à dos et de partir loin est tenace, mais les banquiers sont des gens convainquants… Je m’évade autrement, en attendant. De bons livres, un peu, de beaux films méconnus, énormément. Celui-ci en est un.
Jules Ferry est une légende.
Il a plutôt bonne presse, Jules, dès qu’on parle d’école et d’éducation en France. Le créateur de l’école libre, gratuite, obligatoire vers 1880, le précurseur de la séparation de l’église et de l’Etat de 1905, la possibilité pour tout un chacun de s’élever dans la hiérarchie sociale, ça sonne bien. Presque trop.
Beaucoup trop, en réalité.
Live from APN…
Ca faisait un moment que j’avais pas écrit ici, tiens. Si on excepte les quatre ou cinq idées qui n’ont pas dépassées le stade de brouillon, évidemment. J’ai bossé un peu, malgré tout, notamment sur toutes les photos qui prennaient la poussière virtuelle sur mon disque dur.
Un beau perdant
Le sport, ce n’est pas que l’opium du peuple, pour reprendre la critique radicale du par ailleurs très excellent Jean-Marie Brohm. Au milieu du sport-business, des Lance Armstrong qui se rachètent une conduite sur les plateaux télé ou des statues de Zidane qui mettent des coups de boule devant Beaubourg, voilà une petite histoire comme je les aime.